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Nos conférences

Frédéric Back : une rencontre inusitée

une affiche de Charlotte Mayol

Frédéric Back : une rencontre inusitée par Hélène Jasmin. Conférence sur ce cinéaste d’animation et grand environnementaliste.

Le cinéaste d’animation doublement oscarisé Frédéric Back et grand environnementaliste aurait eu 100 ans le 8 avril 2024. 

Voici un portrait personnalisé de cet Alsacien d’origine, mondialement connu, que la conférencière a fréquenté pendant sa dernière décennie, l’ayant embauché pour deux de ses projets. 

Son immense talent de créateur jumelé à sa colère profonde contre l’insouciance généralisée quant à l’environnement a façonné son message : « Sauvons la nature pour protéger notre terre ». 

Frédéric Back avait la capacité d’enchanter. Pour que son étoile continue de briller, ce témoignage veut apporter quelque lumière sur l’homme et son œuvre.

Une conférence présentée par la SHM.


Hélène Jasmin est auteure, conférencière et vice-présidente de l’entreprise culturelle québécoise La Belle Amérique.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

Samedi 12 octobre 2024 à 14h (entrée gratuite pour les membres, 5$ pour les non-membres)

Salle Kondiaronk, mezzanine du pavillon principal (ancienne salle polyvalente)
350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

Fiche pratique
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Nouvelle-France numérique : un partenariat pour la transcription des archives de la Nouvelle-France

une affiche de Charlotte Mayol

Le projet Nouvelle-France numérique par Maxime Gohier. Conférence sur la manière dont le public peut contribuer à la sauvegarde et à la diffusion du patrimoine documentaire.

Cette conférence vous propose de découvrir le partenariat Nouvelle-France numérique, un projet qui ambitionne de transcrire et baliser tous les manuscrits de la Nouvelle-France et de rendre ces transcriptions accessibles au public pour aider à la recherche. Pour ce faire, le projet a recours à des outils numériques à la fine pointe de la technologie, dont l’intelligence artificielle, mais doit aussi parvenir à unifier le travail des chercheurs et chercheuses, des centres d’archives et du public. 

Le public est en effet appelé à jouer un rôle de plus en plus important dans la recherche historique. Paléographes et généalogistes peuvent contribuer à transcrire les manuscrits et à documenter des individus ou autres informations qui y figurent.

La conférence expliquera les grandes lignes du projet Nouvelle-France numérique, les défis qu’il pose et les possibilités qu’il offre, en insistant sur la façon dont le public peut contribuer à la sauvegarde et à la diffusion du patrimoine documentaire.

Une conférence présentée par la SHM.


Maxime Gohier est professeur d’histoire à l’Université du Québec à Rimouski. Il est spécialiste des relations entre les Autochtones et l’État sous les régimes français et britannique. Expert en paléographie moderne et contemporaine (16e-20e siècles), ses recherches s’articulent autour de la production, la circulation et l’archivage de la documentation concernant les Premiers Peuples.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

Samedi 14 septembre à 14h (entrée gratuite pour les membres, 5$ pour les non-membres)

Salle Kondiaronk, mezzanine du pavillon principal (ancienne salle polyvalente)
350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

Fiche pratique
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Quatre grandes idées qui ont présidé à la création de la communauté juive de Montréal (1904-1914)

une affiche de Charlotte Mayol

Quatre grandes idées qui ont présidé à la création de la communauté juive de Montréal (1904-1914) par Pierre Anctil. Conférence sur l’impact de la communauté yiddishophones à Montréal.

L’immigration juive vers Montréal débute sur une grande échelle dans une conjoncture tout à fait exceptionnelle sur le plan politique et culturel, c’est-à-dire au moment de l’insurrection russe de 1905 et alors que le gouvernement de Wilfrid Laurier ouvre les portes du pays à l’entrée en masse de nouveau citoyens en vue du peuplement de l’Ouest canadien. Les Juifs qui arrivent à Montréal entre 1904 et 1914 apportent des idées radicalement nouvelles dans le contexte québécois, dont l’élan révolutionnaire de l’empire russe, la notion de lutte des classes et une forme particulièrement éclatante de modernité. Ils créent aussi une sphère culturelle et littéraire en langue yiddish qui va connaître un grand succès. Pendant un demi-siècle ces yiddishophones forment la plus importante communauté immigrante de la ville et leur influence est encore palpable aujourd’hui.  

Une conférence présentée par la SHM.


Pierre Anctil est professeur émérite au département d’histoire de l’Université d’Ottawa, où il a enseigné l’histoire canadienne contemporaine et l’histoire juive canadienne depuis 2004. Il a obtenu en 2013 la médaille Luc-Lacourcière pour son ouvrage intitulé Jacob-Isaac Segal (1896-1954), un poète yiddish de Montréal et son milieu, paru en 2012 aux Presses de l’Université Laval et en 2014, pour le même ouvrage, le Prix du Canada de la Fédération des sciences humaines. Il a publié au cours de l’année 2017, aux Éditions Boréal, un ouvrage synthèse intitulé : L’histoire des Juifs du Québec, qui a été finaliste en 2018 aux prix littéraires du gouverneur général du Canada dans la catégorie essai. En 2019 il a publié aux Presses de l’Université de Montréal, en collaboration avec le professeur Ira Robinson, un ouvrage collectif intitulé : Les Juifs hassidiques de Montréal. En 2020, il a reçu le Prix Gérard-Parizeau, remis chaque année alternativement dans les champs de l’économie et de la gestion, puis de l’histoire, afin de souligner la contribution exceptionnelle d’un chercheur dans ces domaines. Son dernier livre a paru à l’automne 2021 sous le titre : Antijudaïsme et influence nazie au Québec ; le cas du journal L’Action catholique de Québec, 1931-1939. Dans cette étude l’auteur retrace l’influence de l’enseignement doctrinal de l’Église catholique dans la diffusion au Québec, au cours des années trente, de propos antisémites.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

Samedi 11 mai à 14h (entrée gratuite pour les membres, 5$ pour les non-membres)

Salle Kondiaronk, mezzanine du pavillon principal (ancienne salle polyvalente)
350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

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De la salle de classe à la cité : la rhétorique dans les collèges classiques jésuites de Montréal

une affiche de Charlotte Mayol

« De la salle de classe à la cité : la rhétorique dans les collèges classiques jésuites de Montréal », par François Dansereau, Patricia Prost, Fannie Dionne. Conférence sur l’éducation classique des jésuites.

Le retour des Jésuites au Canada en 1844 est intimement lié à leur expertise en éducation. Ainsi, dès 1848, le Collège Sainte-Marie ouvrit ses portes, suivi du Collège Jean-de-Brébeuf et du Collège Saint-Ignace. Des centaines de jeunes hommes (et tardivement quelques femmes), destinés à des carrières laïques ou ecclésiastiques, ont fréquenté ces collèges francophones et sont passés à travers l’année de rhétorique. Découvrez ou retrouvez dans cette conférence comment les étudiants ont été formés à l’éloquence en classe et dans des activités parascolaires non seulement pour réussir au collège, mais aussi pour avoir un impact dans la société. Cette conférence fait partie du Projet Rhetorica.

Une conférence présentée par la SHM.


François Dansereau est le directeur des Archives des jésuites au Canada en plus d’être chargé de cours àl’Université Laval et à l’École des sciences de l’information de l’Université McGill. 

Détentrice d’une maîtrise en histoire et d’un certificat en gestion des documents et des archives, Patricia Prost occupe le poste d’archiviste aux Archives des jésuites au Canada depuis janvier 2023, où elle est responsable du traitement des fonds et collections d’archives et de la gestion de la plateforme numérique AtoM. Elle siège actuellement au conseil d’administration du Regroupement des archivistes religieux (RAR).

Fannie Dionne a obtenu son doctorat à l’Université McGill en 2021 et est maintenant historienne de projet pour les Jésuites du Canada. Elle se spécialise dans l’étude de manuscrits missionnaires en langues autochtones. Elle est également conseillère pour la Société historique de Montréal.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

Samedi 13 avril 2024 à 14h (entrée gratuite pour les membres, 5$ pour les non-membres)

Salle Kondiaronk, mezzanine du pavillon principal (ancienne salle polyvalente)
350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

Fiche pratique
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